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mercredi 18 mai 2016
samedi 23 mai 2015
1000 personnes à Carhaix contre Monsanto
MONSANTO,
Kezako ? Cette
entreprise ne vous dit rien ? Elle est pourtant bien présente dans votre
vie !
Le
fameux ROUND UP dont le potentiel cancérigène vient d’être pointé par
l'OMS, c'est Monsanto !
Derrière
le soda que vous buvez, les biscuits d'apéro que vous grignotez, le désherbant
que vous pulvérisez ou le nuage de pesticides diffusé par l'agriculteur voisin,
« le vautour » Monsanto rôde...
Du
champ à l'assiette, de la semence brevetée OGM jusqu'aux additifs, en
passant par les fertilisants, les pesticides, et les hormones de
croissance, Monsanto contrôle la production alimentaire.
Ces
apprentis-sorciers polluent nos sols et nos rivières. Ils remettent en cause le
droit ancestral des paysans à user librement de leurs semences. Ils influencent
nos gouvernants pour imposer aux peuples des lois et des traités (TAFTA par
ex.) qui appuient leur main-basse sur le Vivant. Nos «agri-managers» français
sont complices et le groupe financier Sofiprotéol-Avril avec son pdg Xavier
Beulin (également président de la fnsea) en est l'un des meilleurs exemples…
Ce
23 mai, partout à travers la planète, marchonscontre ce projet totalitaire
et mortifère.
Marche
contre Monsanto à CARHAIX samedi 23 mai 14h30
Alors,
MONSANTO ?
Non,
MA SANTÉ !
Photos sur
https://www.facebook.com/media/set/?set=a.577619855714499.1073741834.213893348753820&type=3
Pour
connaître les marques qui ne garantissent pas l’absence d’OGM et de
pesticides tueurs d’abeilles dans la fabrication de leurs produits : http://greenpeace.fr/guetteur
vendredi 3 mai 2013
vendredi 27 novembre 2009
Alerte à l'Ouest se fait entendre en silence au conseil municipal de Douarnenez
Des membres du Collectif ont rencontré tous les maires des communes du Cap Sizun pour leur demander de prendre position contre les OGM. Le
Collectif a demandé également à plusieurs reprises à rencontrer le
sénateur-maire de Douarnenez sans jamais obtenir de rendez-vous. C'est
pourquoi il l'a interpellé publiquement et en silence au conseil municipal du 27 novembre 2009 :
Réduit au silence, le Collectif se fait entendre au conseil municipal de Douarnenez.
Las d'attendre une réponse positive à
ses multiples demandes d'audiences au sénateur-maire de Douarnenez
(depuis un an!), le collectif s'est invité à la réunion du conseil
municipal du vendredi 27 novembre 2009 sur les bancs du public où chacun est observateur réduit au silence.
Quiconque a déjà
assisté à ce type de réunion a pu ressentir une vague impression d'ennui
et d elassitude devant le formalisme d'un scénario où tout paraît
ficelé et quasiment décidé d'avance...
Mais parfois, il arrive que le public s'en mêle et, tout en restant muet, donne un souffle de vie démocratique à l'assemblée. Ce
soir-là, les six représentants du collectif, assis bien sagement dans
l'assistance (où ils représentaient tout de même la moitié du public!)
se sont tout à coup manifestés au troisième point à l'ordre du jour,
comme convenu, en brandissant des affichettes bien visibles « OGM quand est-ce qu'on en parle ? » OGM, pourquoi le maire refuse-t-il de recevoir le collectif? » « Et les cantines Bio ? » sans compter la signature « collectif Alerte à l'Ouest ».
Quelques
instants plus tard devant les élus médusés, l'un d'entre nous, par
ailleurs spécialiste de l'art du cirque, coiffé d'un chapeau d'arlequin,
s'est avancé vers les conseillers pour effectuer un numéro de
jonglage...Devant cette
performance, craignant sans doute des débordements, le maire proclamait
une suspension de séance. L'action avait produit son effet au-delà de
ce que nous avions prévu.Le sénateur-maire qui voulait contraindre
le collectif au silence a donné au contraire une publicité spectaculaire
aux acteurs anti-OGM dans la presse du lundi. Comme quoi il est des
silences « assourdissants » qui peuvent se révéler plus efficaces que de
longs discours ! L'avenir dira si la leçon, comme la nuit, portera
conseil et si les élus de Douarnenez finiront par recevoir une
délégation du collectif...
samedi 28 février 2009
Christian Vélot à Plozévet
Salle comble à Plozévet pour la conférence de Christian Vélot, sur les conséquences et enjeux des OGM;
Christian Vélot est maître de conférences en Génétique moléculaire à l'Université de Paris-Sud, chercheur à l'Institut de Génétique et Microbiologie (IGM, institu mixte CNRS-Université) sur le Centre Scientifique d'Orsay, membre du Conseil Scientifique du CRIIGEN (Comité de Recherche et d'Informations indépendantes sur le Génie Génétique)
Christian Vélot a dédicacé son nouveau livre : "OGM, tout s'explique"
Le Collectif Alerte à l'Ouest diffuse également le DVD "les OGM, qu'est-ce que c'est ?"
Christian Vélot est maître de conférences en Génétique moléculaire à l'Université de Paris-Sud, chercheur à l'Institut de Génétique et Microbiologie (IGM, institu mixte CNRS-Université) sur le Centre Scientifique d'Orsay, membre du Conseil Scientifique du CRIIGEN (Comité de Recherche et d'Informations indépendantes sur le Génie Génétique)
Christian Vélot a dédicacé son nouveau livre : "OGM, tout s'explique"
Le Collectif Alerte à l'Ouest diffuse également le DVD "les OGM, qu'est-ce que c'est ?"
dimanche 15 juin 2008
Création du Collectif Alerte à l'Ouest pour refuser les OGM en plein champ
Création du Collectif en 2008 à Mahalon dans le Cap Sizun par un groupe
de personnes et
de membres d'associations bien déterminés à lutter contre les OGM en
plein champ, les pesticides, les agro-carburants...dans
l'Ouest-Cornouaille (Cap Sizun, Pays Bigouden, Pays de Douarnenez).
Il est décidé d'appeler ce collectif Alerte à l'Ouest.
Même carrément à l’Ouest, les OGM on n’en veut pas !
alertealouest@gmail.com
06 21 04 86 56
Même carrément à l’Ouest, les OGM on n’en veut pas !
Depuis 2008, la loi autorise en France la culture de plantes OGM en plein champ. Loi ou pas
loi, nous refusons de voir dans nos campagnes des cultures
de plantes OGM… qui finiront dans nos assiettes. Tous ensemble, nous pouvons empêcher
ce nouveau danger dans notre région déjà polluée par les nitrates et les
pesticides.
Les
objectifs du COLLECTIF Alerte à l'Ouest
-
alerter et informer sur les OGM, éclairer sur la confusion
entretenue entre OGM en laboratoire et OGM en plein champ ;
-
boycotter les produits contenant des OGM ;
-
interpeller les élus locaux pour interdire la culture de plantes OGM en
plein champ sur notre territoire, pour garantir l'approvisionnement des
cantines publiques (écoles,crèches, maisons de retraite) en produits garantis
sans OGM.
Pourquoi refusons-nous les OGM en plein champ?
L’information diffusée actuellement
sur les OGM est faite de mensonges et de tromperies. Pourtant des chercheurs
indépendants lancent des alertes sur les problèmes scientifiques soulevés par
les OGM en plein champ.
Les OGM sont des
plantes à pesticides : ils font
augmenter l'utilisation des pesticides, déjà présents dans nos sols, notre eau,
notre air, nos aliments. Les espèces disparaissent, tandis qu'augmentent
cancers et maladies. L'Argentine en fait
déjà la démonstration.
Les OGM sont incontrôlables : en créant
des organismes nouveaux et en les lâchant dans la nature, on joue les apprentis
sorciers, on n’en maîtrise pas toutes les conséquences.
Les OGM ne peuvent pas coexister avec
des plantes non OGM encore moins avec des cultures bio, car les
graines ne connaissent pas les frontières cadastrales, ni les frontières entre
espèces. La contamination est inévitable et
irréversible. C'est déjà prouvé au Canada.
Les OGM ne
résoudront pas la faim dans le monde : au
contraire, les firmes de l'agrobusiness, Monsanto en tête, asservissent les
paysans et les appauvrissent en leur vendant des semences brevetées. Elles les expulsent de leurs terres ou
massacrent les forêts pour produire à partir de plantes OGM des agrocarburants,
appelés à tort “biocarburants” ou “carburants verts”. On cultive pour rouler et
non plus pour manger.
Quand le dernier
arbre sera abattu, la dernière rivière asséchée, le dernier poisson pêché,
alors l'homme va s'apercevoir que l'argent ne se mange pas. Proverbe Cree
(Indiens du Canada)
Avant qu'il ne
soit trop tard, parce que les
OGM représentent une nouvelle menace contre la vie elle-même,
nous avons décidé de ne pas laisser faire et de réagir. Plus nous
serons nombreux, mieux nous pourrons résister.
Si, comme nous,
vous êtes inquiets et scandalisés, rejoignez-nous,
soutenez-nous, parlez-en autour de vous
06 21 04 86 56
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