
NUCLEAIRE
INDIEN SOUS HAUTE TENSION : Projection en présence du réalisateur
indien Pradeep Indulkar
Jeudi
13 novembre 2014 à Pont-Croix Espace Bolloré
Colère
et détresse à Tarapur Résistance face à Areva à Jaitapur
Film
"High power" (Haute tension), primé au Festival Uranium de Rio
de Janeiro en 2013, qui présente les témoignages poignants de la population du
village de Tarapur où fut installée il y a 45 ans la première centrale
nucléaire indienne. Paysans et pêcheurs ont perdu leurs terres fertiles, leurs
lieux de pêche et leur santé...
Court-métrage
"Jaitapur en direct", juste finalisé, qui présente la lutte
aujourd'hui de la population locale contre le projet de construction d'une gigantesque
centrale en zone sismique sur un site littoral encore préservé, avec des
réacteurs EPR exportés par Areva !

Entrée
: Libre participation
Organisation
: Alerte à l'Ouest,
Plogoff
mémoire d'une lutte, Sortir du nucléaire Cornouaille
PRADEEP
INDULKAR
ll
a travaillé 12 ans comme ingénieur mécanicien dans la recherche nucléaire, puis
s’est tourné en 1994 vers l’éducation à l’environnement. En 2009 il a rejoint
la lutte contre le projet de centrale nucléaire de Jaitapur, sur le littoral
Ouest en zone sismique, décidé par le gouvernement indien antérieurement à la
catastrophe de Fukushima au Japon. Pour sensibiliser le public, il réalise un
film montrant la colère et la détresse des habitants riverains de la première
centrale nucléaire construite en Inde à Tarapur il y a 45 ans.
LES
RAISONS D'UNE TOURNEE EN FRANCE
LA
SITUATION DE L'EPR
Le
réacteur EPR (Réacteur pressurisé européen) est un modèle de centrale nucléaire
développé par AREVA, plus puissant et plus complexe que ceux qui l’ont précédé.
Pas un seul n'a encore été mis en service dans le monde. Un premier EPR est en
construction à Flamanville (Manche), et un autre en Finlande. Ces deux
chantiers accumulent les retards et les surcoûts. AREVA mise sur plusieurs
promesses de contrats dans des pays tels que l'Inde (Jaitapur), la Chine, la
Grande-Bretagne, l'Afrique du Sud..., alors que plusieurs pays ont déjà préféré
renoncer à cette technologie dangereuse et coûteuse.
